jeudi 13 août 2009

L'épopée Cyrodilienne



Chapitre 1 : La Libération


     « Pouah... Ma tête... Quelle douleur... » Ce furent mes premières pensées en me réveillant au bord de ce lac, avec une grille d'égouts dans mon dos. Je me rappelais vaguement être sorti de ma cellule par un passage secret. Puis avoir glissé en sortant de ces égouts. Me disais bien que c'était pas une bonne idée de voler cette aristocrate sans la tuer. M'enfin, c'est du passé tout ça... Ah ouais, je viens de me rappeler qu'il y avait aussi ce vieux là, qui m'a demandé de chercher son fils et de sauver le monde. Ou Tamriel ? Ouais c'est ça, c'est Tamriel que je dois sauver ! C'est moins classe que le monde en tout cas. En plus, je dois chercher son fils caché... Il couche vraiment avec n'importe qui cet empereur... Empereur ? Et merde. Le vieux, c'était l'empereur, en fait. Voilà, j'ai vu la mort de l'empereur et je dois sauver l'empire. Normal. Tout ça en cinq minutes bien sûr, des fois que ce soit trop facile... Je pourrais peut-être me suicider ? C'est pas très héroïque et on se foutrait certainement de ma gueule, mais en faisant un poème pas trop minable, on m'érigerait en Dieu de la Littérature, j'en suis sûr. Par contre, comme je serais mort, je pourrais pas profiter de ma respectabilité. Fais chier. Bon je vais aller le chercher son fils. Qui je dois aller voir encore pour qu'il m'indique où c'est ? Le Père Jauffre ? Bah, j'irai le voir.


Chapitre 2 : Pour l'Empire


    Je commence ma marche en traversant la Cité Impériale. Une fois sorti de l'enceinte de la Cité, j'emprunte le long pont de pierre qui relie l'île à la terre ferme. Je marche tranquillement sans m'arrêter au village. J'ai regardé les panneaux quand même, parce que bon, si j'arrive pas à Chorrol j'aurais l'air con quand même. Le Héros qui avait un sens de l'orientation à deux balles... Bon là au moins y a des panneaux et y a l'air de n'y avoir qu'une seule route. Faut dire que cette carte est vraiment à jour, elle m'indique une plaine à ma gauche et j'ai une forêt à la place. La poisse quoi... Soudain j'entends le doux feulement d'une épée. Je me retourne et je vois un bandit. Ah non, un mage bandit. L'idiot a lancé un sort de protection qui brûle la personne qui l'attaque. Ça pour brûler ça brûle. Par contre le temps qu'il lance ce sort, il a perdu sa tête. Dommage pour lui ! Quelques kilomètres plus tard j'arrive au truc de Weuynon, là où se trouve Jauffre. En tout cas les bottes que j'ai pris sur ce bandit mage orc sont vraiment bien, mieux que des sandales de taulard. Je rentre, je vais parler à Jauffre qui me croit dès que je lui montre l'amulette des Rois. Tant mieux ! Ensuite, il me dit d'aller chercher le fils de l'empereur, un certain Martin, à Kvatch. Je lui dis que je vais faire mon possible. Ensuite, je vais parler aux autres mecs en bure. Là y en a un dans la chapelle qui me dit qu'il me prête son cheval. En écoutant une conversation, posé sur le rebord de la fenêtre j'apprends que Jauffre est le maître des Lames. Les gardes de l'empereur, ceux qui ont bien chié puisqu'il est mort, l'empereur. En tout cas, les Lames résident dans le Temple des Nuages. Ouais ben finalement Martin je vais aller le chercher vite fait puis me barrer au Temple des Nuages. Bon, je vais quand même passer la nuit à Chorrol et acheter des réserves, j'ai oublié d'en faire sur le trajet aller qui m'a bien pris une journée... Bah, ce qui est fait est fait, le plus important est de trouver un endroit pour dormir maintenant.



Chapitre 3 : Début du voyage


     Après une longue nuit passée dans une auberge dont j'ai déjà oublié le nom, je reprends ma route non sans avoir apporté quelques modifications à ma carte, refait mes réserves et avoir demandé quelques renseignements. Pour Kvatch on m'a dit de me diriger vers Anvil, plus facile à trouver car au bord de l'océan. Cela dit, personne n'a su m'indiquer la position du Temple des Nuages par quelque chose de plus précis que : « Gné? » ou « Quelque part ! ». On m'a dit que j'en avais pour deux journées de marche jusqu'à Anvil. Étant donné que je suis un bon coureur j'estime que ça sera fait en une journée. Après plusieurs heures de marche, je vois au loin un port. Je suppose que c'est Anvil. Bien, je devrais y arriver dans une heure ou deux, en fonction de la topographie et du terrain. C'est à cet instant que je vois une main par terre, partiellement rongée. Les traces de pas aux alentours indiquent que j'ai affaire à des loups. Tant mieux, les combats ça me manquait. Ma tenue en cuir protègera le haut de mon corps mais mon pantalon en toile ne descend pas jusqu'aux chevilles et mes chaussures me protègeront à peine. Quant aux mains, faudrait déjà que j'ai des gants. Bah, j'ai qu'à espérer que mon épée courte en acier et mon bouclier en cuir me protègeront, sinon j'aurais fait l'épopée héroïque la plus courte de tous les temps. Tout à coup je vois le pack de loups m'attaquer et tenter de me transformer en un informe tas de chair sanguinolent. Je compte sept loups. Les pauvres... Mon bouclier me permet de repousser un loup tandis qu'un coup circulaire de mon épée permet d'en blesser grièvement deux et d'en tuer un. Ensuite, je charge le loup que je viens de repousser et le transperce avec mon épée qui reste coincée. « Si je trouve ce Murphy, je vais l'étriper ». En pensant cela je dégaine ma deuxième épée en acier récupérée sur le bandit mage et devient invisible, pouvoir que j'ai depuis la naissance. Pas facile pour un nordique d'avoir des talents de voleurs, cela dit, c'est utile. Profitant de ce court répit, je tue les trois autres loups en trois coups brefs à la nuque et à la gorge. Une heure plus tard, j'arrive devant les portes d'Anvil que les gardes sont en train de fermer à cause de l'heure tardive. En effet, il est déjà 22 heures. La première chose que je fais en rentrant dans cette ville c'est de me diriger vers le port en ayant l'envie de dormir sur la plage. Malheureusement je suis interrompu par quelques ivrognes idiots qui veulent apparemment organiser une rixe contre leur champion. Pas très motivé, j'accepte quand j'apprends que la prime est un équipement complet en cuir. Le champion est un lourdaud d'impérial qui se pense invincible du haut de ses deux mètres et de ses cent cinquante kilogrammes, dont au moins quarante de graisse. Je ne mesure qu'un mètre quatre-vingt sept pour quatre-vingt dix kilogrammes, mais au moins c'est du muscle et ce lourdaud va le sentir passer. Dès le début du combat mon adversaire me charge, poings en arrière espérant sans doute m'asséner un uppercut. Ce combat est encore plus facile que je ne le pensais puisqu'une simple esquive suivit d'un coup rapide à l'occiput met mon adversaire à terre. Une fois mes gains reçus, je découpe mon ancienne cuirasse en cuir pour renforcer mon équipement nouvellement reçu puis je vais me coucher sur le sable. En me levant et en voyant mes pieds ensanglantés je me dis que j'aurais mieux fait de prendre un canasson. À Anvil, on m'a indiqué la route vers Kvatch mais personne n'a su m'indiquer la position du Temple des Nuages.



Chapitre 4 : La Démission


     J'ai pris la route vers Kvatch en espérant trouver vite fait ce fils de l'empereur. Au bout d'une demi-journée de marche j'arrive aux environs de Kvatch. Cela dit les fumées que je vois ne sont pas là pour m'assurer, manquerait plus qu'ils aient foutu le feu à ce cher Martin. C'est vraiment un nom de merde quand même. En gravissant peu à peu le long sentier sillonnant mes appréhensions furent confirmées par les bruits de batailles, un camp de réfugiés, enfin je suppose vu leur tête et un grand truc rouge. Arrivé au camp, un garde vient me parler. Il me dit que Kvatch a été attaqué par des bestioles venues de l'Oblivion par une espèce de porte qui ressemble plus à un vagin géant qu'autre chose. Là le garde me dit qu'on va devoir pénétrer dans cet espèce de truc pour pouvoir accéder à la porte de la ville et sauver Martin. J'aurais peut-être pas dû les informer de ma mission, maintenant ils me prennent pour un héros à tout faire. Quand je lui demande gentiment si on pouvait pas contourner la porte d'Oblivion et juste rentrer dans la ville, le garde refuse car je suis censé libérer la ville et accomplir ma mission. A ce moment, je décide de laisser tomber l'autre crétin avec son nom pourri et d'aller au Temple des Nuages. Le garde tente de m'empêcher de partir en me menaçant de son épée, mais il n'a eu le droit qu'à un coup de dague dans la jugulaire, puis je cache le corps dans le bois environnant et je récupère l'équipement du garde : une épée longue en acier, un bouclier de cuir et une cotte de maille avec des gants et bottes en cuir et un casque en fer. Maintenant direction Skingrad, c'est la ville la plus proche.


Chapitre 5 : La route continue


     Je n'aurai pas le temps d'arriver à Skingrad aujourd'hui. Je décide donc de trouver un coin agréable où passer la nuit. Je trouve assez rapidement un abri sous un rocher dans une forêt assez dense. J'y passe tranquillement la nuit, sans faire de feu pour éviter les improbables patrouilles de gardes cherchant l'assassin de leur camarade de Kvatch. Au petit matin je me lève et continue mon périple vers Skingrad. Arrivé à Skingrad, je passe par la porte principale qui est ouverte depuis quelques heures et décide d'aller à la Guilde des Guerriers. Une fois sur place j'informe le chef de la Guilde locale que je viens de Kvatch et que les combats furent rudes. La poussière que j'ai étalé sur mon visage avant d'entrer dans le bâtiment de la Guilde rajoute du crédit à mon histoire. Le chef me propose un lit, me dit que je peux me servir en nourriture et en équipement comme je le souhaite en me précisant que demain il alertera la Guilde d'Anvil à laquelle je suis censé appartenir. Je profite donc de cette fin de journée pour encore améliorer mon armure en utilisant une armure elfique que je recouvre par endroits de pièces dwemer. Si j'ai eu le droit à un équipement d'une telle valeur c'est uniquement parce que j'ai dit que j'étais le second de la Guilde d'Anvil. Le chef ne m'a heureusement pas trop questionné sur le but de ma visite pensant que les évènements de Kvatch m'ont bouleversés. Dès que le soleil s'est levé je me mis en marche vers Bravil, une journée de marche en prévision. J'ai eu un moment de tension lorsque le chef de la Guilde est venu me voir, pensant qu'il avait découvert l'arnaque, mais en fait non, il souhaitait juste me dire au revoir.



Chapitre 6 : Premières Informations


     Au bout d'une journée de marche, je suis à environ mi-chemin et heureux de ne pas avoir suivi la route. Au loin, au nord, je vois la silhouette de la Cité Impériale et principalement la tour la surplombant. Je décide de me coucher au sommet d'un arbre. Pour ce faire, je fais avec quelques branches un lit rustique et temporaire et entrepose mes affaires. Ensuite je piste une biche sur quelques kilomètres avant de la tuer et de récupérer sa carcasse. La nuit se passe sans incidents notables hormis quelques pumas qui ont rodé à proximité de mon arbre mais qui ont vite déguerpi une fois que j'ai tiré mes premières flèches. Au lever du jour, je me suis mis en route vers Bravil. Vers la fin de l'après-midi, j'arrive aux portes de Bravil. Le garde me laisse rentrer d'un air nonchalant. Je me dirige vers l'auberge de Bravil non sans remarquer la décrépitude dans laquelle la ville est plongée. Dans l'auberge j'en apprends plus sur le Temple des Nuages, enfin un argonien me dit que quelqu'un à Leyawiin saura m'indiquer la route à suivre ! Je prends une chambre et je refais mes réserves. Quelques litres d'eau ainsi que quelques kilogrammes de nourritures, suffisants pour aller jusqu'à Leyawiin et avoir une réserve non négligeable. Je traîne un peu, et bien que choqué par la pauvreté de la ville, y compris de celle du comte, je suis heureux de constater qu'au moins ici, ils sont accueillants et capables de tolérance.  



Chapitre 7 : Vers les marécages de l'information


     Deux heures avant le lever du jour, je me prépare à partir vers Leyawiin à au moins trois jours de marche à cause du marais qui ralentit toute progression. Je suis arrivé sans encombres à mi-chemin, dans le marais, au bout de deux jours de marche. Le troisième jour par contre, j'ai eu affaire à un groupe de guerriers drogués qui tuaient des bouseux dans un paisible hameau, pensant que c'étaient des gobelins. Je n'ai malheureusement pas réussi à sauver les paysans du village mais j'ai tué la troupe de guerriers et me suis généreusement servi sur leurs cadavres, prenant tout ce qui est utile, id est deux potions de soins majeures, une potion de rapidité, une épée longue d'ébonite, une épée courte elfique et une dague en argent. En fouillant tout le village en prime, j'ai réussi à trouver deux cents pièces d'or. Arrivé à Leyawiin je me dépêche d'aller voir un de mes anciens contacts, un voleur dénommé Garrett, qui m'a fourni une clé incassable ainsi qu'une bonne adresse pour m'enrichir. La nuit venue, après avoir déposé mon équipement chez mon contact, je pénètre dans la maison que je vais dépouiller. Coup de chance, le propriétaire est un riche mécène qui en plus de posséder plusieurs milliers de pièces d'or, possède une armure elfique complète ainsi que d'autres objets de valeur. Le lendemain, je revends les objets à mon contact, et m'achète des pièces d'ébonite pour renforcer mon armure elfique. Cela me laisse près de deux mille cinq cents pièces d'or pour finir mon voyage. Je vais voir l'homme qu'on m'a indiqué pour obtenir mon renseignement, celui-ci me dit que le Temple des Nuages se trouve au nord de Bruma. Je décidé donc de passer par Cheydinhal. A l'aube je quitte Garrett et Leyawiin pour m'en aller vers Cheydinhal, un voyage qui m'aurait bien pris quatre jours si je n'avais le magnifique destrier que j'ai « emprunté » au mécène grâce à une dérogation de sa part, tellement bien falsifiée que les gardes n'ont rien remarqués, je suis arrivé à ma destination en à peine une demi-journée en n'ayant tué que trois brigands qui tentèrent de me délester de mon cheval, mon arc et mon épée eurent raison d'eux.


Chapitre 8 : La ville haineuse


     Arrivé devant Cheydinhal, je suis heureux de pouvoir passer la nuit dans un lieu tranquille et de pouvoir refaire mes provisions. En passant les portes je n'apprécie que moyennement le regard défiant des gardes et le mépris visible dans les yeux des passants. Rapidement je refais mes provisions dans un magasin de nourriture et trouve un hôtel, pas très grand ni très beau, mais convenable pour l'usage que je voulais en faire, c'est à dire dormir. Cependant au dîner un breton borgne vient me voir et me dit que les elfes noirs de Cheydinhal, soit quasiment toute la population de cette antipathique bourgade, détestent les étrangers et encore plus les nordiques qu'ils haïssent ouvertement. D'ailleurs le breton me dit qu'il est borgne car les elfes noirs l'ont pris pour un nordique... Je sais pas pourquoi, mais je sens que la nuit va être calme et agréable. Et légèrement ensanglantée aussi. Mon intuition se trouve vérifiée aux environs de minuit, quand deux assassins pénètrent dans ma chambre. Malheureusement pour eux, je ne dormais que d'un sommeil léger et j'ai donc prestement coupé la jugulaire du premier et transpercé la second. Un troisième larron, qui passe par la fenêtre, a les doigts tranchés par un lancer de dague précis et sa chute du deuxième étage n'a pas vraiment l'effet d'un remède. Une fois sa mort constatée je prends rapidement la route vers Bruma, dernière étape de mon voyage. Le chemin est de tout repos étant donné qu'à cette heure-ci, les brigands dorment, eux, au moins. Vers l'après-midi j'arrive aux portes de Bruma, heureux de savoir que mon voyage prendra bientôt fin.  


Chapitre 9 : Dernière étape


     A Bruma on m'indique la direction précise du Temple des Nuages et un guide se propose de m'amener à proximité mais il refuse de me conduire dans la forteresse. Après quelques longues heures de marche nous sommes pris dans un blizzard et mon cheval meurt de froid. J'en profite pour le dépecer et me faire de la nourriture ainsi qu'une couverture me protégeant de la neige et du vent. A environ cinq cent mètres du Temple le guide me dit qu'il ne continuera pas plus loin, je le tue donc pour éviter qu'il n'aille répéter qu'un étranger a pénétré dans le Temple des Nuages, et surtout, relever l'identité de cet étranger. En effet, en dépeçant mon canasson, la capuche recouvrant mon visage a glissée et le guide a distinctement vu mon visage, même si il n'a rien dit. Je récupère les pièces d'or sur le cadavre et me dirige vers le Temple. Arrivé à proximité je jette un bref coup d'œil aux alentours et pénètre dans le Temple. Un membre du Temple, une lame, me fait rentrer dans l'enceinte et me donne un lit, ainsi que de la nourriture en me disant que demain le chef du Temple voudra me parler. J'accepte volontiers et prends une nuit de sommeil bien mérité.


Chapitre 10 : La vengeance


     En pleine nuit, je me lève, égorge silencieusement une lame qui dort à mes cotés, tue le deuxième par décapitation et jette le troisième dans le feu avant qu'il n'ait le temps d'émerger de son sommeil. Cela me laisse quatre lames à tuer avant d'avoir vidé ce lieu. Cependant l'un d'entre eux m'a vu tuer un de ses camarades et commence à s'enfuir en hurlant que l'étranger est un assassin. Je lui lance ma dague en plein dans la nuque, ce qui le paralyse jusqu'à ce que j'arrive à ses côtés et lui enfonce le crâne sur sa colonne vertébrale. Malheureusement, les autres ont entendu, et pendant que je tue une lame d'un coup de flèche bien placé, les deux autres ont eu le temps de m'apercevoir et de se préparer. Un ennemi à proximité se rue vers moi sans attendre son frère d'arme, pensant pouvoir me vaincre seul. Malheureusement pour lui, je lui donne un coup de poing, puis effectue une rotation pour lui trancher les tendons au niveau des genoux, et enfin je lui plonge ma lame ensanglantée dans le cœur. Le dernier soldat d'élite de l'empereur approche plus calmement de moi. Je reconnais Baurus, chef actuel des lames. Lors de notre duel, il me reconnaît, moi, la personne qui a tenté de tuer l'empereur il y a quelques années et que tout le monde a oublié.

« -Comment est-tu sorti de prison ?

-Le passage secret permettant à l'empereur de quitter la Cité Impériale passe par ma cellule...

-On m'avait dit que tu regrettais ta tentative d'assassinat.

-En effet, j'ai même commencé à sauver l'Empire mais quand j'ai appris qu'il existait un lieu où les lames vivent, je n'ai pu résister à la tentation de tuer ceux qui m'ont arrêtés, surtout que le sauvetage de l'Empire allait certainement me coûter la vie.

-Je vois, alors, finissons ce duel ! »

À ce moment Baurus me fonce dessus en me portant un coup d'estoc, mais j'esquive et lui assène un coup à sa hanche. Blessé, Baurus sait qu'il a peu de chance de me vaincre et un coup à son œil, l'éborgnant, lui fait comprendre qu'il est perdu. Alors il se laisse mourir, dans l'honneur des lames, et moi, j'ai eu ma vengeance.



PS : Ouais ouais, c'est pas vraiment une peinture du monde, mais bon, déjà que l'activité est anémique, faut bien remplir un peu, et puis, Pluton m'as donné cette idée, c'est pas moi !


1 commentaire:

  1. Beau RP :) que de souvenirs, prépare toi à dévoiler les nouvelles aventures que va nous proposer Skyrim le 11.11.11 ;)

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